Contexte

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La présence de certaines espèces patrimoniales (principalement tétras-lyre, gélinotte des bois, chouette de Tengmalm, chevêchette d'Europe, pic tridactyle, sabot de Vénus, bruyère herbacée, linnée boréale, épipogon) justifie une adaptation des pratiques sylvicoles.

Les forêts gérées, quel que soit le mode de gestion, conduisent à tronquer les dernières phases des cycles naturels. Or, les phases de sénescence sont très importantes pour la biodiversité, entre autres du fait d'espèces spécialisées et d'un effet positif du bois mort sur les sols. Toutes les études montrent ainsi l'intérêt écologique de favoriser une plus grande naturalité dans les forêts gérées.

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Enjeux

Cette orientation s’inscrit dans l’enjeu Préserver, conforter et promouvoir les patrimoines naturels et culturels et leur intégration aux activités humaines.

Lignes directrices de l'orientation

• Faciliter la concertation entre les propriétaires forestiers, l'établissement public du parc national et les autres structures environnementales, à l’amont des phases de conception des projets et des plans de gestion pour les aider à mieux prendre en considération les enjeux environnementaux.

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• Diffuser les actions de gestion remarquables pour une mise en oeuvre plus large.

Mesures contribuant à l'atteinte de l'objectif